Edito
  19/02/2022

Sensibilisation au Covid 19, explication de la pandémie par une analyse empirique comparative

L'analyse empirique précède généralement l'analyse scientifique.
Elle est celle issue essentiellement des observations des faits pour analyser une situation et ne dispose pas de preuves réelles scientifiques.

Tout se déduit à partir d'une constatation de faits répétés et remarqués ailleurs ou à d'autres niveaux de l'échelle des êtres vivants, de l’expérience si l’on veut dire autrement.

Le contexte de contagion du coronavirus, le mode et les palliatifs adoptés est celui qui nous a interpellé à vouloir analyser l’épidémie empiriquement et peut être ainsi mieux le comprendre, l’expliquer et exposer plus clairement ce qu’il en est et si les mesures prises sont exagérées ou pas.

Tout d’abord, attirons l’attention sur ce mot : la toxicité.
La toxicité, selon Wikipédia, est la mesure de la capacité d’une substance chimique, radionucléide, molécule organique, etc. à provoquer des effets néfastes et mauvais pour la santé ou la survie chez toute forme de vie, qu'il s'agisse de la vitalité de l'entité ou d'une de ses parties.

Nous allons, dans notre analyse empirique, comparer la contamination au coronavirus par les humains à la toxicité de l'insecticide diffusé sur des fourmis.

Les similitudes sont flagrantes et nous permet de pouvoir mieux évaluer le fléau covid 19.
 
Identifions maintenant un peu plus nos parties :
Pour faire simple, le covid 19, dans notre analyse, sera considéré l'insecticide et les humains, les fourmis.

Evaluons ensuite ce qui se passe :
Lorsqu’on asperge quelques fourmis d'insecticide (confrontation d’humains au covid 19 dans un contexte réel) devant une fourmilière (un foyer départ de contamination dans la vie réelle) certains meurent tout de suite, d'autres titubantes meurent peu après ou non (les malades de covid 19 dans la vie réelle) et certains les plus résistants (les porteurs sains du covid 19 dans la vie réelle) semblent non affectées par la toxicité du produit.

D'habitude, des fourmis qui s'en réchappent du produit toxique diffusé sur elles (les malades et les porteurs sains) toutes se dirigent systématiquement vers d'autres entrées de fourmilières.

Cas est de constater généralement qu’un ou des jours après, au niveau des nouvelles bouches de fourmilières, non aspergées à l’insecticide, plusieurs autres fourmis meurent (les nouveaux contaminés faibles et peut être aussi les premières fourmis malades ou/et réchappées)

Les nouvelles fourmilières ont été infectées par les fourmis rescapées, résistantes et titubantes intoxiquées  (nous avons là les foyers secondaires de contamination).


Le phénomène peut durer plusieurs jours autour de plusieurs bouches de fourmis réellement distantes les unes des autres qui ont été confrontées aux fourmis rescapées (Contamination mondiale chez les humains au travers de divers pays).

Distinguons les risques apparus selon notre analyse très empirique.
Nous avons :
1. Les foyers départs de contamination de la maladie : fourmilière aspergée à la base (La Chine, premier pays confronté au virus)

2. Les zones à haut risque de contamination : tous les endroits par lesquels les fourmis aspergées qui ne sont pas morts tout de suite, ont pu apporter le fléau. On peut citer les autres bouches de fourmilières. (Dans un contexte réel, cela pourrait équivaloir à des aéroports, des frontières et aux moyens de transport pour y arriver)

3. Les nouveaux foyers ou foyers secondaires de la maladie : autres fourmilières non aspergées mais atteintes par les fourmis intoxiquées où on retrouve plus tard pleins d’autres fourmis mortes. (Dans un contexte réel, d’autres villes, qui en plus disposeraient de foyers de contamination plus ou moins élevées selon les dispositions non entreprises par leur dirigeant).

Affinons notre analyse
Si nous tenons cas que notre insecticide a un effet toxique qui s’atténuerait totalement sous 14 jours (le covid 19 dispose en réalité d’une période d’incubation de 14 jours), et qu’aucune des fourmis -aspergées à l’insecticide- n’avait réussi à atteindre d’autres fourmilières, il n’y aurait peut-être pas eu d’autres fourmis mortes et des fourmilières contaminées (Donc à l’échelle comparative réelle, peut-être une pandémie ou non).

Mettons enfin en exergue ce qui doit être réellement perçu de la situation actuelle de l’épidémie au coronavirus.
Il nous faut garder à l’esprit que dans l’observation de nos fourmis expérimentales intoxiquées, nous avons distingués les titubantes (En réel les malades au covid 19) et les robustes (En réel les porteurs sains du covid 19) qui, si sous 14 jours, ne meurent pas, étaient guéries n’est-ce pas ?

Eh bien, ce qu’il ne faut pas exclure est que, durant cette phase, la leur de lutte pour guérir, elles peuvent contaminer d’autres fourmis, par contact avec elles, le moyen que nous retiendrons pour transmettre la toxicité chez les fourmis ( l’équivalent de tous les moyens possibles de contamination au covid 19 : toux, infection des objets, contact), qui elles, selon leur robustesse, peuvent en mourir ou pas mais peuvent le transmettre à d’autres qui elles à leur tour peuvent en mourir et/ou le refiler à d’autres et ainsi de suite ; Le risque de contamination par contact avec les fourmis même mortes existant.

C’est exactement le modus operandi du covid 19.

On comprend alors la nécessité du confinement et des dispositions scrupuleuses à respecter pour éteindre la maladie et l’empêcher de se développer.

La menace est donc véritablement réelle !

Quand s’en alarmer ?
Dès qu’on découvre un seul cas positif au covid 19, malade ou non, qui aurait pu être en contact avec d’autres personnes.

La mesure miracle
L’isolation des patients au-delà de la période d’incubation, en plus des traitements validés pour maintenir en vie les plus faibles, sont donc la seule façon de vaincre le fléau.

La discipline.

Autres mesures

  • Désinfecter toutes les zones à risques et foyers secondaires tel que les aéroports , les frontières, les routes les plus fréquentées, 
  • Porter les masques pour les échanges verbales incertains
  • Stérilser les masques dès que possible et si possible
  • Restreindre et contrôler la circulation au maximum des individus

 

Stérilisants et désinfectants à ce jour connus

eau de javel et éthanol pour les surfaces oxydables.

Participation organisée et de masse.
Avis aux Etats et aux organismes privés à forts potentiel

Yann JIBIDAR
 


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